Jean-François Jaillet
L’esprit d’entreprendre
Récemment retraité, Jean-Francois Jaillet n ’ en reste pas moins investi dans de nombreux projets familiaux, sportifs et associatifs. Précurseur dans l’ ame, il relève avec succès les challenges et ose s ’ aventurer hors des sentiers battus.
Originaire de Charnay où il a fréquenté l’école de la Coupée, Jean-François grandit proche de sa famille et de ses amis. En 1947, son grand-père fonde une menuiserie, reprise par son père en 1970 et dont il devient en 1993 le chef d’entreprise. Dès lors, il la développe et écrit un nouveau chapitre de l’aventure familiale. Autodidacte et créatif, il est passionné par l’agencement et le design et fait construire en 2007 des locaux zone des Berthilliers, qu’il conçoit avec son oncle architecte de façon innovante et éco-responsable. Soutenu par son épouse, c’est en équipe qu’il aime se lancer des défis et faire avancer des projets qu’il souhaite voir aboutir rapidement.
Son leitmotiv : l’intérêt général. Président du Service de santé au travail du bâtiment et des travaux publics de Saône-et-Loire, il est attentif au bien-être de ses salariés et veille à leur créer un environnement de travail ergonomique et agréable. Début 2021, son fils Maxime reprend les rênes de l’entreprise à 31 ans. Jean-François, s’inspirant de sa propre expérience, endosse désormais le rôle d’accompagnant et reproduit avec fierté le modèle transmis par son papa.
Ses compétences, Jean-François les met également au service de plusieurs associations. Jouant au basket depuis son plus jeune âge, avant tout pour sa passion du jeu d’équipe, des amitiés qui s’y créent et de l’ambiance qui en résulte, il prend en 2010 la présidence du CBBS. Son objectif : porter les valeurs du sport féminin aussi haut que possible !
Du temps libre ? Il en profite pour voyager, faire des sorties en vélo (électrique), des séjours au ski et des week-ends en famille et entre amis, de quoi recharger les batteries et rester dynamique !
SON LIEU PRÉFÉRÉ
La rue du Perthuis, là où avec son épouse, ils résident depuis 2018. Depuis son domicile, il a pu réaliser un de ses rêves : celui de voir le Mont-Blanc (par temps clair) quand il se lève le matin.